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7 décembre 2007 5 07 /12 /décembre /2007 08:45
des gardes civils espagnols.
Apres Nathalie Ménigon ,c'est la semi-liberté pour j-m Rouillan ,cofondateur d'action directe ,et dans un an la liberté ,avec un travail déjà reservé !!
Il semblerait que la lutte armée ne s'inscrit plus dans son processus de revendication politique !!!
Mais personne ne peut en être sur et si la justice se trompe  ,elle n'en subira aucune punition si ce n'est une vague protestation ,la énième.
Les victimes ne risquent pas de protester ,elles sont mortes et enterrées !!CPS-HSH67-061207150324-photo00-photo-default-337x512.jpg
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commentaires

G
Soit il fallait lui couper le cou quand on l' a arrêté soit il faut accepter qu'un jour où l'autre il soit libéré......difficile de garder quelqu'un enfermé jusqu'à sa mort. Ceci dit je suis d'accord avec toi, les victimes ne bénéficieront jamais de remise de peine.
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T
je remercie Jacques qui apporte des commentaires référencés .et je me trouve vraiment solidaire des victimes .<br /> quelle honte . Finalement je suis content que Dati donne des coups de pieds dans la fourmillière
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M
inadmissible mais ou va t'on en tout cas je ne serai pas rassuré s'il venait habiter près de chez moi Marcel
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J
Après les pédophiles et les détraqués sexuels, au tour des criminels.....<br /> Condamné deux fois à la réclusion criminelle à perpétuité en 1989 et 1994, notamment pour les assassinats du PDG de Renault Georges Besse et de l’ingénieur général de l’armement René Audran<br /> Son ancien avocat, Me Christian Etelin, a également insisté hier sur le fait que sa mise en semi-liberté n’était pas susceptible de représenter «un danger pour quiconque». Pour autant, personne – à commencer par les familles des victimes d’Action directe – ne parvient à oublier l’absence de repentance de Jean-Marc Rouillan. «Je ne regrette rien», a-t-il souvent confié dans les médias.<br /> Le 17 décembre prochain, celui qui fut l’ennemi public n° 1 des années 1980 en France sera donc transféré de la maison centrale de Lannemezan (Hautes-Pyrénées) au centre de semi-liberté de Marseille. Un éditeur de la Cité phocéenne – qui s’était chargé de publier les trois livres de l’ancien activiste – a garanti sa réinsertion professionnelle..........<br /> <br /> Elle est pas belle la vie..........<br /> Une petite pensée pour sa copine en liberté conditonnelle depuis aout dernier " Nathalie Ménigon ", ancienne membre elle aussi du groupe terroriste d’extrême gauche, et qui avait épousé son compagnon d’arme à la prison de Fleury-Mérogis en 1999.<br /> <br /> Preuve que la réclusion criminelle à perpétuité ne veut plus rien dire du tout.....<br /> Tremblez braves gens, tremblez, les assassins sont remis en liberté....moi je dis qu' 55 ans ont peut encore faire preuve "d'action directe".......
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